Juin 2016

Volume 31, numéro 6

Cet article a fait l'objet d'une traduction automatique.

Le mot du rédacteur en chef - Parti pris cognitif

Par Michael Desmond | Juin 2016

Michael DesmondDans mon dernier article (msdn.com/magazine/mt703429), j’ai décrit comment les efforts visant à contrôler la perte de refroidissement dans l’installation nucléaire trois milles îlot (TMI) en 1979 ont été mis en forme par sagesse reçu d’un autre domaine, dans ce cas, la formation plantes opérateurs reçus dans le fuseau horaire Parc nucléaire du bleu foncé. Face à des informations en conflit à partir de contrôles et les systèmes ne fonctionnant pas correctement et dysfonctionnelles, opérateurs a choisi d’agir tout d’abord sur les lectures du niveau de l’eau dans le réservoir pressurizer de refroidissement du système par rapport à celles coeur du réacteur lui-même. L’incident a entraîné un meltdown partielle de carburant et l’accident réacteurs pire dans l’histoire des États-Unis.

Les leçons de TMI dépassent les écarts professionnels suscitent chez eux comme leur transition entre les organisations, les projets et les rôles de travail. En fait, TMI et incidents nucléaires d’urgence Fukushima Daichii 2011 au Japon révèlent un aspect important sur la nature humaine face aux crises et leçons de mise en garde présentes aux développeurs de logiciels qui doivent être réactives aux échéances, contraintes budgétaires, les défauts de code, les menaces de sécurité et une multitude d’autres contraintes.

Arnie Gundersen est dans le secteur nucléaire et ingénieur en chef Fairewinds d’énergie éducation. Lors d’une présentation avril 2016 au Japon, il a noté que les opérateurs d’installations à TMI et Fukushima reposent sur instruments indiquant faussement « qu’il était beaucoup d’eau dans les réacteurs, qu’en fait il y a aucun. »

Il s’est passé à dire : « Chaque lecture était true et grave, ils considérés comme erronée. Chaque lecture était erronée mais bon, ils faisaient appel à. C’est une tendance que je vois toujours dans la réponse d’urgence. Que les opérateurs à croire les instruments qui les conduisent à la conclusion qu'ils souhaitent obtenir ».

Décalage d’ambiance explique certaines de ces. L’homme est intégrées à sous-estimer la probabilité et l’impact d’un sinistre et ont tendance à sous forme de notes de Wikipedia, « interpréter avertissements le plus optimiste possible, prise sur toute ambiguïté à déduire une situation moins grave ». Ce truc COGNITIF se produit partout : dans les cockpits d’avions, des institutions financières, les organismes gouvernementaux et, Oui, ateliers de développement logiciel. Banques et établissements financiers, par exemple, suite à participer à des comportements avant la réduction globale Finance de 2008, en dépit des indications claires sur le crise imminent. Dans les minutes et les heures avant le dépassement de pétrole Horizon visant en 2010, les opérateurs n’a pas pu agir sur pression anormale et fluide lectures de bien, ce qui portended le choc calamitous out. Après l’éclatement, British Petroleum minimisée l’impact, estimer le débit d’huile dans le golfe du Mexique à simplement les barils de 1 000 à 5 000 par jour, lors du placement flux taux technique groupe (FRTG du gouvernement des États-Unis) qui figure en barils 62,000.

Ignorer troubling indicateurs, downplaying de dommages et en choisissant de pensez que les informations qui prend en charge des résultats positifs — il s’agit des réponses défectueuse capable de créer des situations de mauvais terrible. Mais la motivation de s’engager dans leur est forte. Lorsque j’ai interrogé Gundersen, il a le point d’origine en citant auteur Upton Sinclair, qui est a écrit : « Difficile pour un homme de comprendre une chose si son salaire dépend de sa non-compréhension. »

Pour les développeurs appuyés irréaliste d’expédition, les budgets inadéquates et calendriers ambitieux, la possibilité de faire les correcteurs décisions clear-eyed la différence entre les décisions difficiles aujourd'hui et accessible sur ceux beaucoup plus difficile l’avenir.


Michael Desmondest le rédacteur en chef de MSDN Magazine.